#3 Le corps pollué
Pour ce troisième épisode Méduse parle du corps pollué, ce qui arrive à nos chairs lorsqu’elles sont imprégnées de matières toxiques, que ce soit par irradiation, par l’absorption de pesticides, la malbouffe ou un excès de médicaments. Barbara et Cécile remontent le fil de leurs souvenirs de l'accident de Tchernobyl, racontent comment elles ont pris conscience des dangers qui pèsent sur le monde vivant et s'interrogent sur leur propre responsabilité dans le réchauffement climatique.
«Quand enfant, je tenais une pomme ou poire dans la main et qu’une voix le plus souvent féminine me criait de loin cette recommandation, je restais perplexe pendant de longues secondes. Pourquoi fallait-il se méfier d’un produit de la nature?»
« Nous, les humains, avons tout misé sur la conservation et maintenant nous avons du plastique dans les poissons, du maïs génétiquement modifié, des pesticides dans les fruits et légumes, cet empoisonnement qui s'est installé petit à petit sur notre planète est devenu un ouragan que nous ne pouvons plus ignorer. »
« Mon premier Macdonalds était un peu un voyage à Disneyland, le sentiment de pénétrer dans un univers à la fois moderne et coloré. Nous étions au début des années 90, j’avais une douzaine d’années et je croyais être arrivée dans une sorte de paradis. »
«Oui, mon végétarisme s'est toujours heurté à mon hétérosexualité. Déjà à mes débuts, je me suis laissée aller lorsque mon petit ami de l'époque a affirmé que le poulet n'était pas de la viande et que je pouvais en manger en tant que végétarienne ! »
«L’animal que je mange laisse lui aussi des traces à l’intérieur de moi et donc ses souffrances peuvent continuer à m’habiter. »
#3 Le corps pollué
Pour ce troisième épisode Méduse parle du corps pollué, ce qui arrive à nos chairs lorsqu’elles sont imprégnées de matières toxiques, que ce soit par irradiation, par l’absorption de pesticides, la malbouffe ou un excès de médicaments. Barbara et Cécile remontent le fil de leurs souvenirs de l'accident de Tchernobyl, racontent comment elles ont pris conscience des dangers qui pèsent sur le monde vivant et s'interrogent sur leur propre responsabilité dans le réchauffement climatique.
«Quand enfant, je tenais une pomme ou poire dans la main et qu’une voix le plus souvent féminine me criait de loin cette recommandation, je restais perplexe pendant de longues secondes. Pourquoi fallait-il se méfier d’un produit de la nature?»
« Nous, les humains, avons tout misé sur la conservation et maintenant nous avons du plastique dans les poissons, du maïs génétiquement modifié, des pesticides dans les fruits et légumes, cet empoisonnement qui s'est installé petit à petit sur notre planète est devenu un ouragan que nous ne pouvons plus ignorer. »
« Mon premier Macdonalds était un peu un voyage à Disneyland, le sentiment de pénétrer dans un univers à la fois moderne et coloré. Nous étions au début des années 90, j’avais une douzaine d’années et je croyais être arrivée dans une sorte de paradis. »
«Oui, mon végétarisme s'est toujours heurté à mon hétérosexualité. Déjà à mes débuts, je me suis laissée aller lorsque mon petit ami de l'époque a affirmé que le poulet n'était pas de la viande et que je pouvais en manger en tant que végétarienne ! »
«L’animal que je mange laisse lui aussi des traces à l’intérieur de moi et donc ses souffrances peuvent continuer à m’habiter. »